Plus que Limoges et c'est bon…
Hier, j'ai assisté à la demi-finale du championnat de Pro D2 (c'est du rugby, les 30 gars qui font ce qu'ils peuvent avec un ballon ovale) entre le Racing et La Rochelle.
Bon, le compte rendu va être court, je l'ai déjà tapé une fois, mon ordinateur vient de tout planter, je n'ai pas le temps de faire plus long.
Le Racing menait 17-0 à la mi-temps, ils se sont faits reprendre dans le premier quart d'heure après la pause, mais ont réussi à repasser devant. Ensuite, ils ont stressé jusqu'au coup de sifflet final. Et maintenant, hop, à Limoges pour la finale contre Mont de Marsan.
Pour résumer, j'ai choisi quelques gestes et antigestes de cette fin d'après-midi.
Les gestes de la journée :
- Le streaker qui a fait son apparition après un essai Rochelais. Il a traversé le terrain, face aux tribunes, entièrement à poil. Il a cru à un moment qu'il allait se faire courser, mais non, c'était juste un soigneur qui courait vers un blessé. Il est finalement reparti tranquillement sans être inquiété. Depuis les tribunes, on l'a vu se rhabiller à côté du car régie de la télé, puis repartir en marchant.
- Très belle ambiance, dûe également aux nombreux supporters de la Rochelle qui avaient fait le déplacement. Les joueurs (des deux équipes) sont d'ailleurs allés saluer les supporters à la fin de la rencontre. Comme disait une copine qui m'accompagnait, "au Stade de France, il n'y a pas autant d'ambiance".
- Merci aux supporters qui ont abandonné leurs drapeaux "ciel et blancs" à l'issue du match, comme ça, on a pu en rapporter aux enfants !
- Incroyable, il n'y a pas eu de déluge ! Peut-être que ma place près de l'en but était trop éloignée et que je suis passé inaperçu…
- Entre le début de baston dès la 3ème minute et les 5 dernières minutes d'antijeu, les joueurs m'ont gentiment fait comprendre que "l'esprit du rubgy", c'est une légende des siècles passés qu'on essaie de vendre pour valoriser un sport aussi bourrin et pourri par le fric qu'un certain autre que je préfère.
Les antigestes de la journée :
- Le parking réservé aux VIP, c'est quand même franchement limite…
- Les placages du Racing, ils seraient mieux s'ils étaient faits quand l'adversaire a le ballon. Ca éviterait les cartons jaunes (et expulsions temporaires) et ce sentiment qu'aussi souvent dans un match, c'est limite fait exprès…
- cette chanson finale, nom de dieu, c'est vraiment pas possible ! "Maladie d'amour, maladie de la jeunesse" en zouk… Bon, c'est marrant 3", mais ça fait pas sérieux. Ou alors c'est une arme pour démobiliser l'adversaire… Mais dans ce cas, faut la passer dans les vestiaires avant le coup d'envoi et non après !
- le pire de tous… : M. le Maire, dans son discours au micro, a oublié d'annoncer que la municipalité offrait des billets de train à tous les supporters qui viendraient soutenir le Racing pour la finale du week-end prochain. Franchement, à quoi servirait une ville si elle ne claquait pas son fric pour faire plaisir à quelques centaines d'amateurs de rugby ? :-))
Bon, le compte rendu va être court, je l'ai déjà tapé une fois, mon ordinateur vient de tout planter, je n'ai pas le temps de faire plus long.
Le Racing menait 17-0 à la mi-temps, ils se sont faits reprendre dans le premier quart d'heure après la pause, mais ont réussi à repasser devant. Ensuite, ils ont stressé jusqu'au coup de sifflet final. Et maintenant, hop, à Limoges pour la finale contre Mont de Marsan.
Pour résumer, j'ai choisi quelques gestes et antigestes de cette fin d'après-midi.
Les gestes de la journée :
- Le streaker qui a fait son apparition après un essai Rochelais. Il a traversé le terrain, face aux tribunes, entièrement à poil. Il a cru à un moment qu'il allait se faire courser, mais non, c'était juste un soigneur qui courait vers un blessé. Il est finalement reparti tranquillement sans être inquiété. Depuis les tribunes, on l'a vu se rhabiller à côté du car régie de la télé, puis repartir en marchant.
- Très belle ambiance, dûe également aux nombreux supporters de la Rochelle qui avaient fait le déplacement. Les joueurs (des deux équipes) sont d'ailleurs allés saluer les supporters à la fin de la rencontre. Comme disait une copine qui m'accompagnait, "au Stade de France, il n'y a pas autant d'ambiance".
- Merci aux supporters qui ont abandonné leurs drapeaux "ciel et blancs" à l'issue du match, comme ça, on a pu en rapporter aux enfants !
- Incroyable, il n'y a pas eu de déluge ! Peut-être que ma place près de l'en but était trop éloignée et que je suis passé inaperçu…
- Entre le début de baston dès la 3ème minute et les 5 dernières minutes d'antijeu, les joueurs m'ont gentiment fait comprendre que "l'esprit du rubgy", c'est une légende des siècles passés qu'on essaie de vendre pour valoriser un sport aussi bourrin et pourri par le fric qu'un certain autre que je préfère.
Les antigestes de la journée :
- Le parking réservé aux VIP, c'est quand même franchement limite…
- Les placages du Racing, ils seraient mieux s'ils étaient faits quand l'adversaire a le ballon. Ca éviterait les cartons jaunes (et expulsions temporaires) et ce sentiment qu'aussi souvent dans un match, c'est limite fait exprès…
- cette chanson finale, nom de dieu, c'est vraiment pas possible ! "Maladie d'amour, maladie de la jeunesse" en zouk… Bon, c'est marrant 3", mais ça fait pas sérieux. Ou alors c'est une arme pour démobiliser l'adversaire… Mais dans ce cas, faut la passer dans les vestiaires avant le coup d'envoi et non après !
- le pire de tous… : M. le Maire, dans son discours au micro, a oublié d'annoncer que la municipalité offrait des billets de train à tous les supporters qui viendraient soutenir le Racing pour la finale du week-end prochain. Franchement, à quoi servirait une ville si elle ne claquait pas son fric pour faire plaisir à quelques centaines d'amateurs de rugby ? :-))